Même si 2020 a été une année marquée par de nombreux défis, nous sommes optimistes quant à 2021 et nous nous attendons à une amélioration des conditions et des perspectives économiques.
Connaître les résultats le soir des élections était peut-être trop en demander.
À la veille des élections présidentielles américaines, de nombreux gestionnaires d’actifs institutionnels cherchent des réponses à des questions essentielles, dont les suivantes : Qui s’installera à la Maison-Blanche? Le Congrès restera-t-il divisé? À quoi ressemblera la future politique économique des États-Unis? À cette fin, Jon Adams, stratège en placement établi à Chicago, propose trois scénarios statistiquement viables, accompagnés des répartitions sectorielles correspondantes qui vous aideront à préparer vos portefeuilles à toutes les éventualités : une victoire en solitaire de Joe Biden, un raz de marée démocrate et le maintien du statu quo.
Dans une décision surprise, l’Arabie saoudite a décidé d’inonder le marché en augmentant la production de pétrole de 25 % après avoir échoué à conclure un accord avec la Russie pour faire face à la chute soudaine de la demande de pétrole provoquée par le coronavirus.
Cette semaine, les investisseurs ont été effrayés par la forte hausse des nouveaux cas de COVID-19 en dehors de la Chine, surtout en Corée du Sud et en Italie, ce qui a provoqué un fort recul sur les marchés boursiers et une chute libre des taux des obligations d’État.
Notre scénario de référence préconise des taux d’intérêt relativement stables et une poursuite de la progression des actions mondiales.
Les menaces saisonnières ont eu un effet différent cette année et les actions mondiales ont enregistré un autre gain en octobre, atteignant de nouveaux sommets dans plusieurs marchés.
Conformément aux attentes du marché, la Réserve fédérale (Fed) a réduit son taux directeur de 25 pdb en octobre, soit la troisième baisse de 25 pdb depuis juillet.
Les 25 dernières années ont été l’ère de la mondialisation. Ce phénomène, engendré par la naissance d’Internet et l’émergence de multinationales géantes de la technologie, a entraîné une expansion sans précédent des flux commerciaux et financiers.
En ce qui concerne le Brexit, la seule certitude est l’incertitude qui persiste. Plusieurs issues sont encore possibles : un accord, peu probable mais pas impossible, pas d’accord et un deuxième référendum. Quelle que soit l’issue, les ramifications seront multiples.
Les vieux arguments contre les déficits budgétaires de grande ampleur sont en train de changer. On observe un important changement chez certains économistes universitaires et une partie des marchés financiers.
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