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Commentaire de decembre sur les portefeuilles de FNB BMO : L’année 2023 se termine avec une reprise
Commentaire de decembre sur les portefeuilles de FNB BMO : L’année 2023 se termine avec une reprise
Steven Shepherd, CFA
Activités des Portefeuilles
L’année 2023 se termine avec une reprise
Le mois dernier, plusieurs records ont été établis. Cinquième meilleur rendement de l’indice S&P 500 en novembre depuis 1930 : 8,9 %. Le deuxième meilleur rendement pour les portefeuilles 60/40 (indice Bloomberg U.S. Aggregate Bond à 60 % et indice S&P 500 à 40 %) : 7,3 %. Le jour suivant la fin du mois, l’or a atteint un sommet de tous les temps à la clôture de 2072,22 $ US/once soit un rendement de 13,6 % depuis le début de l’année 2023. Le recul des taux, qui ont été poussés à la baisse par l’attente de réductions accélérées de la Réserve fédérale américaine (la Fed) en 2024 du fait de données sur l’inflation inférieures, a été le facteur le plus important des tendances positives. Tout compte fait, il s’agit d’un répit bienvenu après les baisses de septembre et d’octobre.
Au Canada, nous avons atteint la cible de « récession technique », le PIB du troisième trimestre enregistrant -1,1 %. Cependant, les révisions par rapport au trimestre précédent ont été spectaculaires, puisqu’elles ont réécrit la courbe précédente de -0,2 % à 1,4 %, ce qui nous a tenus à l’écart de la catégorisation des récessions, même si la faiblesse globale de l’économie reste évidente. La Banque du Canada a maintenu les taux à 5 % comme prévu, même si le moment des réductions implicites du marché pour 2024 est projeté maintenant un mois plus tôt qu’aux États-Unis (avril par rapport à mai), avec cinq réductions d’ici la fin de 2024. Depuis son sommet au début d’octobre, le taux des obligations du gouvernement du Canada à 10 ans a chuté de plus de 96 points de base (pdb), ce qui a fait grimper l’indice des obligations universelles FTSE Canada de 4,3 % en novembre. (Bloomberg, 2023).
L’indice JOLTS et le rapport ADP ont été publiés aux États-Unis, ce qui a alimenté un certain rebond boursier; cependant, les données sur les emplois non agricoles, qui sont plus largement suivies, ont montré 199 000 emplois par rapport aux 189 000 prévus et suivent le résultat de 150 000 en octobre. Les répercussions sur les obligations ont été importantes, le taux des obligations américaines à 10 ans ayant chuté à un niveau aussi bas que 4,14 % le mois dernier, avant de remonter légèrement, les contrats à terme standardisés de la Fed prenant en compte jusqu’à cinq baisses de taux de 25 pdb par la Fed en 2024. Il semble s’agir d’un atterrissage parfait, et non d’un atterrissage en douceur pour l’économie américaine. Par ailleurs, les commandes de biens manufacturés et durables ont continué de se contracter, l’indice ISM du secteur manufacturier reculant à 46,7, ce qui confirme la contraction. Les services ont maintenu la situation à flot, mais demeurent aussi le principal moteur de l’inflation des salaires. Cependant, la hausse de la productivité a entraîné une baisse des coûts unitaires de la main-d’œuvre au troisième trimestre; par conséquent, même les faibles salaires ont augmenté, tout comme la production par dollar, ce qui a stimulé à la fois l’économie et, probablement, la rentabilité des entreprises. Cela tranche nettement avec les six trimestres consécutifs de baisse de la productivité au Canada, qui débouchent sur des coûts unitaires de la main-d’œuvre de plus de 6 % sur 12 mois.
La Banque centrale européenne (BCE) s’est également jointe aux chœurs en faisant des commentaires de plus en plus conciliants sur les progrès réalisés dans la lutte contre l’inflation, les marchés des contrats à terme standardisés prenant en compte six baisses, soit 146 pdb. N’oubliez pas que le taux directeur de la BCE est déjà inférieur de 100 pdb, de sorte que cette réduction absolue plus importante est proportionnellement plus audacieuse. C’est étrange, puisque les taux d’inflation de base aux États-Unis et dans l’Union monétaire européenne sont très proches, à 3,46 % et 3,60 %. Cependant, une comparaison de l’inflation globale, soit 2,4 % par rapport à 3,4 %, en plus d’un indice des directeurs d’achats du secteur manufacturier inférieur, donne à penser que les prévisions de réduction plus audacieuses de la BCE sont justifiées. Cependant, ce choix reflète certainement la faiblesse des indices PMI du secteur manufacturier dans la région, car les décideurs se concentrent davantage sur la stimulation de la croissance plutôt que sur l’inflation persistante.
Étant donné le rythme de la reprise boursière, il faut reconnaître que les craintes que celle-ci soit exagérée sont justifiées. D’un point de vue technique, bien qu’une hausse du nombre net de titres négociés établissant de nouveaux sommets sur 20 jours soit prometteuse pour les rendements de décembre, le pourcentage de titres qui dépassent leur moyenne mobile sur 50 jours reste inférieur à 90 %, un niveau plus typique des premiers stades d’une remontée plus durable. Néanmoins, le positionnement des contrats à terme standardisés reste remarquablement pessimiste, ce qui montre que les investisseurs ne sont pas « tous là », et les soldes massifs des fonds du marché monétaire américain indiquent qu’il reste plus de munitions à déployer (5 900 milliards de dollars, selon la Réserve fédérale de St. Louis à la fin du deuxième trimestre). Historiquement, décembre est également un mois vigoureux pour les rendements boursiers, en particulier lorsque le mois de novembre a été vigoureux.
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